• Dix heures d’interventio Animaliers, soigneurs et bénévoles, ils sont venus de tous les refuges de la Fondation, en camion, pour prendre en charge les Cockers. Et d’expérience, ils s’attendaient au pire. Pourtant, quand ils ont pénétré dans la propriété, le cœur leur a manqué. Dans une carcasse de voiture, 14 chiens sont entassés, se poussant en permanence pour obtenir une place sur la banquette défoncée et souillée au-delà du possible. Il y a là 6 ou 7 autres épaves, également « habitées ». Dans des caravanes hors d’âge et d’usage, toute une population de chiens squelettiques, couverts d’excréments, de gale et de teigne se disputent une gamelle d’eau croupie, quelques croquettes moisies. Dans un chalet de 12 m2, pas moins de 20 Cockers cohabitent sans lumière et bien entendu sans hygiène. Et partout dans le plus petit espace, des cages contenant des prisonniers de plusieurs semaines, plusieurs mois. La pauvre Princesse, enfermée depuis sa mise-bas, veille comme elle peut sur ses trois petits qui ont déjà deux mois. Les enquêteurs de la Fondation recueillent des chiens aux yeux crevés, aux pattes cassées. Certains sont vieux, d’autres ne sont que des chiots : les vétérinaires qui les examinent estiment qu’ils ont de 5 mois à 10 ans. Tous sont affamés, déshydratés, atteints de conjonctivite ou d’ulcères. Mais étonnamment, aucun ne montre d’agressivité. Comme s’ils s’en remettaient, avec le peu de confiance en l’homme qui leur reste, à ces inconnus venus bouleverser leur existence pitoyable. Il ne faut pas moins de dix heures d’intervention pour soustraire les 149 chiens à leur calvaire. A la Fondation Assistance aux Animaux, c’est un véritable plan de bataille qui est mis en œuvre. Selon la gravité de chaque cas, des groupes sont constitués : 22 chiennes sont dirigés sur le refuge de Toulon, 15 vers Brignoles, 17 à Pont Saint Esprit. Carros accueille 45 rescapés, dont une majorité de chiots et Villevaudé, 44, dont les plus physiquement atteints. Enfin, il est décidé d’envoyer les 6 plus âgés à la maison de retraite du Gard pour qu’ils y vivent heureux jusqu’à la fin de leurs jours. Chacun se hâte à sa tâche, conscient que chaque minute compte, et que tout doit se faire dans la douceur. Sur place, on nourrit, on abreuve, en évitant de provoquer des bagarres, en ne cédant pas à la tentation de laisser manger à satiété des animaux privés de tout depuis si longtemps : leur pauvre estomac ne le supporterait pas. On distribue les caresses, on essuie les chiens crottés, on soigne les urgences et on dispatche les rescapés. Enfin les camions démarrent vers des cieux plus cléments.


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  • De la vie, ils ne connaissaient que la faim, le froid, la peur, la douleur : depuis le 17 décembre dernier, 149 Cockers, arrachés à un élevage sauvage de la région de Limoges, ont découvert le confort, l’affection et la satiété dans les 6 refuges de la Fondation Assistance aux Animaux, où tout est mis en œuvre pour qu’une seconde chance leur soit offerte. De pitoyables victimes, à la merci d’une femme qui vivait son rêve sans un regard pour ceux auxquels elle n’apportait que le malheur. A 57 ans, Liliane X avait une passion maladive pour les Cockers. Elle voulait en posséder de tous les types existants : anglais, noirs ou dorés, américains à longues franges, dans toutes les couleurs, voire dans toutes les nuances. C’est ainsi qu’au fil d’années de reproduction jamais maîtrisée, elle s’est retrouvée à la tête d’un cheptel de 149 chiens, dont elle était bien incapable de s’occuper, mais dont elle n’a jamais voulus se séparer. Ses Cockers étaient sans doute des bibelots vivants qu’elle collectionnait sans les entretenir. Au lieu-dit Le Genévrier, près de Peyrat-le-Château, c’est un mouroir que dirigeait Liliane X.Les voisins s’étaient plaints : des chiens hagards, affamés et d’une saleté indicible envahissaient parfois leurs jardins, éventraient leurs sacs poubelles, pénétraient chez eux avalant toute la nourriture qu’ils pouvaient trouver. On entendait des aboiements et des gémissements continuels s’échappant de « l’élevage ». Il régnait aux abords du terrain où étaient parqués les chiens une odeur pestilentielle qui ne semblait pas déranger la propriétaire. Et depuis deux ans, la Direction de la cohésion sociale et de la protection des personnes avait l’œil sur Liliane X. On lui avait demandé de mettre son établissement aux normes. Promesses jamais tenues de l’intéressée. On lui avait conseillé de ne garder que 9 chiens, soit le maximum qu’un simple particulier puisse posséder chez lui. Mais pour elle, pas question de se séparer de l’un ou l’autre de ses trophées. Enfin ce 17 décembre, l’ordre du Préfet tombe, le feu vert pour ouvrir les cages et récupérer les animaux martyrisés du Genévrier.


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  • De la vie, ils ne connaissaient que la faim, le froid, la peur, la douleur : depuis le 17 décembre dernier, 149 Cockers, arrachés à un élevage sauvage de la région de Limoges, ont découvert le confort, l’affection et la satiété dans les 6 refuges de la Fondation Assistance aux Animaux, où tout est mis en œuvre pour qu’une seconde chance leur soit offerte. De pitoyables victimes, à la merci d’une femme qui vivait son rêve sans un regard pour ceux auxquels elle n’apportait que le malheur. A 57 ans, Liliane X avait une passion maladive pour les Cockers. Elle voulait en posséder de tous les types existants : anglais, noirs ou dorés, américains à longues franges, dans toutes les couleurs, voire dans toutes les nuances. C’est ainsi qu’au fil d’années de reproduction jamais maîtrisée, elle s’est retrouvée à la tête d’un cheptel de 149 chiens, dont elle était bien incapable de s’occuper, mais dont elle n’a jamais voulus se séparer. Ses Cockers étaient sans doute des bibelots vivants qu’elle collectionnait sans les entretenir. Au lieu-dit Le Genévrier, près de Peyrat-le-Château, c’est un mouroir que dirigeait Liliane X.Les voisins s’étaient plaints : des chiens hagards, affamés et d’une saleté indicible envahissaient parfois leurs jardins, éventraient leurs sacs poubelles, pénétraient chez eux avalant toute la nourriture qu’ils pouvaient trouver. On entendait des aboiements et des gémissements continuels s’échappant de « l’élevage ». Il régnait aux abords du terrain où étaient parqués les chiens une odeur pestilentielle qui ne semblait pas déranger la propriétaire. Et depuis deux ans, la Direction de la cohésion sociale et de la protection des personnes avait l’œil sur Liliane X. On lui avait demandé de mettre son établissement aux normes. Promesses jamais tenues de l’intéressée. On lui avait conseillé de ne garder que 9 chiens, soit le maximum qu’un simple particulier puisse posséder chez lui. Mais pour elle, pas question de se séparer de l’un ou l’autre de ses trophées. Enfin ce 17 décembre, l’ordre du Préfet tombe, le feu vert pour ouvrir les cages et récupérer les animaux martyrisés du Genévrier.


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  • Pour les peaux, cuirs de chiens : Special skin (peau spéciale), lamb skin (peau d'Agneau), Mountain Goat skin (peau de chèvre de montagne), Sakhon Nakhon lamb skin (peau d'agneau de Sakhon Nakhon) Pour les Fourrures et Peaux de Chats : Fourrure Spéciale (Special Fur), Chacal, Chats Sauvages, Katzenfelle, Goyangi, Chat de Montagnes, Peau d'Agneau, Mouton, (Rabbit) Lapin, Chèvre de Montagne etc. etc. et généralement tous les mots composés avec " cat " Tous les félins tachetés, (espèces sauvages) sont interdits de commercialisation car en voie de disparition. Seuls les chats familiers sont sur le marché de la fourrure. Consommateurs, sachez de plus que lorsque vous achetez des os ou des bâtonnets à mâcher en cuir brut ou véritable pour votre chien, fabriqués en Asie, votre chien mâchouille probablement la peau de l'un de ses "frères martyrs". Votre chat s'amuse peut-être avec un jouet fabriqué en fourrure de chats qui ont été abominablement torturés ! En achetant ces articles vous encouragez sans le savoir ces massacres massifs et horribles !


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  • Étiquettes trompeuses  Des intermédiaires qui s'occupent de l'exportation pour l'Occident et l'Amérique du Nord peuvent apposer n'importe quel nom d'espèces sur les papiers d'exportation sans que les douanes s'en préoccupent, et renommer la fourrure d'un manteau ou autres produits à volonté, selon les souhaits des fourreurs ou grossistes. Ainsi figurent en général l'appellation : Cuir ou Fourrure Véritable ou "Genuine Fur" ou "Genuine Leather" ( donc fourrures ou cuirs imprécisés) sur les étiquettes de la plupart des vêtements et articles en cuir fabriqués en Asie tels que: manteaux, chapeaux, sacs à mains, porte-monnaie, gants, gants de jardinage, pantoufles, chaussures, cols , sacs à mains, porte-monnaie mais aussi sur les étiquettes des jouets, éléments de décoration, figurines, tambours, petits articles de cuir (y compris de sport), et de jardin, peausserie de voiture, articles orthopédiques ou accessoires de toutes sortes en cuir ou en fourrure que l'on peut retrouver dans nos magasins de l'Amérique du Nord, figurent en général l'appellation : Cuir ou Fourrure Véritable ou "Genuine Fur" ou "Genuine Leather" ( donc fourrures ou cuirs imprécisés). Mais il existe aussi une foule d'autres appellations trompeuses telles que : Pour les fourrures de chiens :Étiquettes trompeuses Des intermédiaires qui s'occupent de l'exportation pour l'Occident et l'Amérique du Nord peuvent apposer n'importe quel nom d'espèces sur les papiers d'exportation sans que les douanes s'en préoccupent, et renommer la fourrure d'un manteau ou autres produits à volonté, selon les souhaits des fourreurs ou grossistes. Ainsi figurent en général l'appellation : Cuir ou Fourrure Véritable ou "Genuine Fur" ou "Genuine Leather" ( donc fourrures ou cuirs imprécisés) sur les étiquettes de la plupart des vêtements et articles en cuir fabriqués en Asie tels que: manteaux, chapeaux, sacs à mains, porte-monnaie, gants, gants de jardinage, pantoufles, chaussures, cols , sacs à mains, porte-monnaie mais aussi sur les étiquettes des jouets, éléments de décoration, figurines, tambours, petits articles de cuir (y compris de sport), et de jardin, peausserie de voiture, articles orthopédiques ou accessoires de toutes sortes en cuir ou en fourrure que l'on peut retrouver dans nos magasins de l'Amérique du Nord, figurent en général l'appellation : Cuir ou Fourrure Véritable ou "Genuine Fur" ou "Genuine Leather" ( donc fourrures ou cuirs imprécisés). Mais il existe aussi une foule d'autres appellations trompeuses telles que : Pour les fourrures de chiens : Raton d'Asie, "Asiatic Raccoon" Renard d'Asie, "Blue Fox", "Fox" , Asian Wolf (Loup d'Asie), Gou-Pee, Gubi, Kou-Pi, China Wolf (Loup de Chine), Mongolia Dog (Chien de Mongolie) Gae-Wolf, Korea Dog (Chien de Corée), Corsac Fox (Renard Corsac), Asian Jackal (Chacal d'Asie), Pommern Wolf (Loup de Poméranie), Asiatic Raccoon Dog (Raton-Laveur d'Asie), Sobaki, Dogue de Chine, et généralement tous les mots composés avec "wolf" ou "dog" .


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