• A Vannes, dans le Morbihan, un chat a été pris pour cible à deux reprises la semaine dernière par un ou des tireurs, quelques jours après la mort d'un autre chat, tué lui par balle. Pacha le 2 décembre et Flocon la semaine dernière. Ces deux chats ont été victimes de tirs à l'évidence mal intentionnés et sèment le trouble chez les propriétaires de chat de la ville de Vannes, en Bretagne. Pacha a succombé à une balle mortelle de 4,5mm de diamètre rapportait Ouest-France début décembre. Le félin, roux et blanc, âgé de 5 ans avait été adopté en avril à la SPA par ses propriétaires. En retrouvant le cadavre de leur félin 24 heures après sa disparition, ses propriétaires ont été pris d'un doute. L'autopsie du vétérinaire a rapidement confirmé leur crainte. La balle qui a traversé son aorte lui a été fatale. La semaine dernière, c'est Flocon, un beau chat blanc, qui a été la cible d'un tireur armé d'une carabine à air comprimé. Lui n'a pas été victime d'un mais de deux tirs selon le vétérinaire, à plusieurs jours d'intervalle. Selon lui, la première fois le plomb est ressortie par chance, malgré un tir à moins de 10 mètres. La seconde fois, le plomb aurait été tiré à hauteur d'une fenêtre. Ses propriétaires ont décidé de porter plainte. En novembre, la SPA avait été déjà alerté par le cas d'un autre chat atteint par un plomb de chasse à Baden, un village à quelques kilomètres de là. Lui s'en est tiré avec un fémur brisé. Le code pénal prévoit qu'une personne qui porte atteinte à la vie d'un animal encourt une amende de 700 à 1 500 euros.

     


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  • Gauchy (Aisne), rue Georges Bizet : un quartier résidentiel plutôt calme. Mais depuis plusieurs mois, les habitants ont affaire à un empoisonneur qui s'en prend à leurs chiens et chats, rapporte L'Aisne Nouvelle.
    Samedi, Francine a été alertée par une voisine qui est venue lui dire que son chat était mort devant chez elle. Francine et son mari croient qu'il s'agit du même empoisonneur que l'été dernier.
    En juillet, il y avait déjà eu trois chats et un chien empoisonnés dans leur rue. Elle avait recueilli un chat qui bavait, qui avait des convulsions et qui souffrait, avant de mourir. Les trois autres bêtes avaient été retrouvées mortes dans la rue. Le lendemain un propriétaire avait retrouvé devant le muret de sa propriété une boulette de chair à saucisse mélangée de poison, toujours d'après ce journal.
    Selon un vétérinaire, il s'agit de Temic, un poison interdit et très violent ! Son action est foudroyante : il faut dix minutes pour qu'un chat meure, juste en le croquant ! On comprend le danger si un enfant ou un adulte porte sa main à la bouche après l'avoir touché.
    Francine et son mari ont alerté les autorités et déposé une plainte au commissariat.
    Dans un village voisin : Itancourt, on a retrouvé également six chats morts par empoisonnement depuis quelques jours.
    Mais qui est donc cet empoisonneur mystérieux ?


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  • Victime d'un malaise cardiaque au cours d'une promenade, un homme qui habite près de Sarrebourg, dans le département de la Moselle, a été sauvé par sa chienne extraordinaire âgée de 12 ans, a rapporté samedi le journal le Républicain lorrain. Cette femelle berger allemand, Roxane, qui a sauvé son maître grâce à un réflexe peu banal, est devenue ces derniers jours la star de son village, une célébrité.Selon le journal, comme tous les jours, Dédé, âgé de 58 ans, et son chien partent de leur maison pour la promenade habituelle dans la forêt.  Au bout de quelques instants, l'homme vacille et s'assoit dans la neige qui tombe en abondance. Il perd tout d'un coup connaissance et s'effondre.La chienne a alors joué un rôle crucial ne perdant pas une minute. "Elle a aussitôt couru vers le village pour trouver de l'aide", a raconté Yolande, l'épouse de Dédé. "Le chien a tourné autour de nous en aboyant, en pleurant, en regardant en direction de la forêt," a expliqué l'un des villageois. On a immédiatement suivi le chemin indiqué par le chien, pour tomber rapidement sur l'homme "inconscient, recroquevillé sur lui-même, le pouls presque éteint, à la température descendue à 32°C". Des secouristes médicaux sont également arrivés sur place. Après quelques heures passées à l'hôpital, selon la source, Dédé a retrouvé son domicile.


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  • C'est un riverain, alerté par les aboiements de l'animal qui a prévenus les pompiers. Arrivés devant le n° 39 du boulevard Victor-Hugo, a  16 h 30, jeudi 7 avril, ceux-ci n'ont pu que confirmer les craintes du voisinage : un chien encore vivant était prisonnier au fond d'un bassin de décantation en ciment. Au fond du puisard profond de 4 mètres, les pompiers firent une autre découverte. Le chien de berger au pelage noir ponctué d'une tache blanche sur la poitrine avait une oreille sectionnée et sa cuisse gauche fracturée avait les chairs en charpie. Transporté chez le vétérinaire par les agents de la SAGPA, la société chargée du service de la fourrière municipale, le chien a été immédiatement euthanasié.  Il n'avait pas d'autres blessures sur le corps et la coupure de son oreille était cicatrisée. Mais c'est la première fois que l'on m'amenait un chien dans un tel état », précisait hier le vétérinaire. Pour Anne Sanchez, la directrice de l'antenne toulousaine de la SPA, qui va déposer plainte auprès du commissariat de Colomiers, le chien pourrait avoir été victime de sévices. L'état de son arrière-train a vif et atrocement meurtri pourrait également être la conséquence d'un accident de la circulation. Mais quelle que soit l'origine de la blessure rien ne permet d'expliquer comment l'animal s'est retrouvé prisonnier au fond d'un bac de décantation gorgé de boue et d'eau usée. 


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  • L’existence normale d’un chien ordinaire Cent quarante neuf chiens d’un coup à la veille de Noël : c’est un énorme contingent dans une période où les abandons sont toujours nombreux. Pourtant dans les refuges, on s’organise, on trouve des solutions, même si elles ne peuvent être que temporaires. Chacun trouve une affectation et tout de suite, le travail de resocialisation commence. Les chiens sont nourris trois fois par jour, par petites quantités. A leur arrivée, ils auraient mangé leur assiette avec leur repas, tant ils ont été privés de nourriture dans leur élevage. Peu à peu, ils comprennent que les repas sont servis à heure fixe, qu’ils ne seront pas oubliés pendant des jours : ils apprennent l’existence normale d’un chien ordinaire. On les lave, on les toilette, on coupe les poils inextricablement emmêlés, en un mot on les rend propres et on leur rend l’apparence de leur race. Les vétérinaires ont, dès leur arrivée dans les refuges, donné des consignes au cas par cas. Les traitements sont appliqués, les quarantaines observées et très vite, le mieux se fait sentir : les chiens reprennent du poids et des forces, les maladies de peau cèdent du terrain, les ulcères se referment et les conjonctivites régressent. Stérilisations, tatouages et vaccinations commencent, au fur et à mesure que la santé des chiens le permet. Certains chiens apprennent à marcher en laisse. Pour les rescapés de Limoges, chacun trouve un moment supplémentaire, une caresse de plus, une gourmandise en sus.Pour mener à bien leur sauvetage, les refuges ont besoin d’aide : appel est lancé pour récupérer des couvertures, des coussins, des joujoux, des croquettes, des couffins. Par ailleurs les dons financiers qui parviennent à la Fondation Assistance aux Animaux sont évidemment bienvenus : car les chiens ne sont pas adoptables tout de suite et certains ont besoin d’un suivi à moyen terme avant de pouvoir briguer une nouvelle famille. Ceux qui sont émus par l’extravagante épopée des Cockers de Limoges peuvent aussi postuler pour devenir famille d’accueil d’un rescapé ou le parrainer. Toutes les aides sont bienvenues pour assurer à ces chiens arrachés à l’enfer un avenir décent. Quand ils auront repris confiance, que leurs maux physiques auront été endigués définitivement, qu’ils sauront à nouveau comment se comporter dans une famille, ils auront besoin qu’on leur offre un foyer où ils sauront aimer et être aimés, oubliant leur calvaire passé. C’est une affaire de patience et d’amour.


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